Si plusieurs études tendent à démontrer l’influence positive des jeux vidéos sur votre activité cérébrale, qu’en est-il pour les réseaux sociaux ?
Sans surprise les conséquences avancées ne sont pas des plus positives.
On retiendra en particulier que :
- La réception de notifications booste la dopamine et favorise l’addiction
- La zone cérébrale dédiée à la parole/mémoire/motricité/émotion serait attrophié de 10% à 20% chez les accrocs au web
- En 12 ans le temps d’attention maximale aurait baissé de 25% passant de 12 secondes à 8 secondes
Des chiffres à prendre évidemment avec beaucoup de recul mais qui doivent tout de même vous rappeler que de temps en temps il faut déconnecter (oui je sais … faites ce que je dis mais pas ce que je fais…)
10 commentaires
Je sais pas quoi dire ^^
Mais bon ça fait prendre concsience un peu …
On a tous besoin d’une piqure de désintoxication ! :p
Oui mais nuancer, c’est sur qu’il faut une dose de modération comme dans tout, et on ne peut se limiter à une vie sur les réseaux sociaux, certains n’en n’ont pas conscience.
Dangereux pour la santé ? Comme Twitter, Pinterest, le web en général ou les femmes… 😉
c’est pas nouveau, faut juste savoir s’imposer une limite et ne pas tomber dans l’addiction
Bonjour,
Intéressant cette étude ? Et Twitter dans tous ça ?
Si on suit cette étude, il vaut mieux être « addict » aux jeux vidéos qu’aux réseaux sociaux.
pour moi facebook n’est pas un site, c’est une drogue qui nous tient en otage.
il faut penser à organiser des cures de défacebookisation lol
J’ai plein de personnes dans mon entourage qui sont réellement accros à Facebook. Je trouve ça assez inquiétant, déjà qu’il y a pas mal de gens accro à leurs téléphones portables… Et ça ne va pas aller en s’arrangeant!
Je pense que passer trop de temps sur facebook doit effectivement nuire gravement à la santé.
le fait d’entrer ses données personnelles jusqu’au moindre détail, est déjà une preuve de soumission qui n’est pas trés compatible avec un certain niveau de maturité.
Tout peut rendre addict… et comme tous, il faut savoir se poser des limites (ainsi qu’à ses enfants).
Certains sont passionés de foot, et passent leurs temps sur l’équipe à scruter les dernieres rumeurs; d’autres prefere les potins et les petites histoires de leurs amis (ou plutôt dirai-je connaissances).