Un événement important est passé inaperçu cette semaine, qui sera peut-être vu comme une page d’histoire aussi importante que la création de l’ONU : le World Economic Forum vient de créer un Conseil International sur l’Intelligence Artificielle.
L’IA ouvre la voie à d’infinies possibilités mais aussi à de terribles dérives
Vu par tous les leaders mondiaux comme la solution ultime à beaucoup de maux l’IA attise autant l’optimisme des uns que les peurs des autres.
On confronte souvent aux évidents gains de temps et aux avancées fulgurantes dans le domaine médical (grâce notamment à l’internet des objets et au big data) les peurs tout à fait légitimes de systèmes qui pourraient être détournés, voir carrément déraper et menacer nos libertés.
Les exemples de dérives sont déjà nombreux : entre les données personnelles chinoises qui ont fuité et les accidents de robots, on se dit que les inquiétudes d’Elon Musk et de tant d’autres sont vraiment fondées, et ce ne sont pas des films comme I, Robot ou Terminator qui vont apaiser nos craintes à ce sujet.
Notons que pour l’instant, même si des cas de machines qui se parlent sans notre supervision ont été constatés, un simple débranchement permettrait d’arrêter une quelconque mutinerie robotique mené par l’IA.
L’Intelligence Artificielle doit être cadrée
C’est pour aider les gouvernements à répondre à ces questions épineuses, que le WEF a constitué un Conseil International sur l’Intelligence Artificielle.
Il y a clairement une attente forte d’encadrement et de pédagogie sur le sujet, et le conseil a déjà commencé à ébaucher certains axes de réflexion, comme :
- Comment la technologie va-t-elle affecter l’avenir du travail ?
- Comment la recherche en intelligence artificielle pourrait-t-elle bénéficier aux pays émergents ?
- Quels cas spécifiques de l’utilisation de cette technologie pourraient émerger
Mais au delà de l’aspect « think tank », ce conseil pourrait surtout poser les bases d’une législation internationale du même ordre que le RGPD, qui permettrait d’endiguer un peu les futures dérives à venir.
Une entreprise aussi complexe que futile ?
La création d’un conseil international réunissant différentes cultures et visant à encadrer les usages de l’IA a-t-elle la moindre chance de déboucher sur des actions concrètes et utiles ?
Les valeurs culturelles de pays aussi différents que l’Inde, la Russie, les Etats Unis ou la France ne sont pas toujours compatibles : la reconnaissance faciale telle qu’elle est déjà utilisée massivement en Chine ne se développera jamais aussi rapidement en Europe.
Toutefois, l’Intelligence Artificielle progresse, et elle progresse tellement vite qu’on imagine facilement qu’elle sera incontournable dans notre quotidien dans quelques années (si elle ne l’est pas déjà). A une ère ou les frontières géographiques perdent chaque jour plus de sens, un conseil international commun peut sans-doute permettre des échanges constructifs afin de faciliter la transition inévitable qui nous attend, et ses profondes conséquences sociétales.
Même si on peut objecter que la création des Nations Unies n’a pas permis d’éradiquer les guerres, ces 60 dernières années ont tout de même été la période avec les plus fortes avancées en termes de baisse de la pauvreté et du nombre de guerres. La mise en place d’un territoire neutre d’expression auquel toutes les nations sont conviées est donc loin d’être futile et inutile.
Le premier Conseil sera co-présidé par Brad Smith, actuel président de Microsoft, et Kai-Fu Lee, CEO de Sinovation Ventures et ancien président de Google China. Il accueillera également à son board des représentants de Element AI, IEEE, IBM, du Future of Life Institute, et plusieurs ministres notamment de la Grande Bretagne, de la Colombie et des Emirats Arabes Unis.
Alors souhaitons-leur donc bonne chance dans cette entreprise qui nous concerne tous, car notre avenir dépend désormais aussi un peu d’eux …
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