Antho
Il aura beaucoup fait parler de lui, le dev kit de la PS5 ! Qu’on se rassure, le design final du nouveau bébé de Sony n’aura rien en commun avec le chauffe-plat high-tech railler sur les réseaux sociaux. Un artiste de renom (particulièrement calé en design industriel) s’est donc mis en tête d’imaginer le look de la Playstation 5. Et ma foi, c’est… sobre.
Un design « classique » pour la PS5 ?
Si vous imaginiez quelque chose de très futuriste pour le châssis de la PS5, vous risquez d’être un peu déconcerté en découvrant le travail de Giuseppe Spinelli (aka Snoreyn).
C’est vrai que comme ça, la PS5 ressemble à une petite unité centrale finalement peu innovante. Pour ne pas dire franchement banale. Au moins, elle est assortie aux futures manettes Dualsense (dont le design est officiel).
Bien sûr, sa vision de la nouvelle console n’a peut-être rien à voir avec le visuel que nous réserve Sony. Mais il faut savoir aussi que M. Spinelli est un grand professionnel au courant des exigences des fabricants en terme de design pour une validation industrielle.
Magnétoscope ou cheminée ?
On sait que la PS5 embarquera un système de ventilation plus avancée que la normale et plus coûteux aussi. Très coûteux.
Sony pourrait choisir d’opter pour le design type « magnétoscope ». Le radiateur se retrouverait alors au dessus de la puce AMD et le ventilateur devrait être déporté. Et n’oublions pas la grosse carte mère ! Giuseppe Spinelli pourrait donc avoir vu juste avec son architecture classique. On espère que la PlayStation 5 conservera une légère symétrie pour permettre de la positionner soit à l’horizontale, soit à la verticale. La marque de fabrique des PlayStation quoi !
Autre option : la cheminée. La cheminée, c’est quoi qu’est-ce ? Dans cette configuration, la PS5 verrait sa carte mère divisée en deux étages. Le radiateur, le ventilateur et l’APU serait alignés, créant ainsi un unique flux de refroidissement. La Xbox Series X est largement inspirée de ce design.
Les paris sont ouverts. On vous laisse avec le design imaginé par Giuseppe Spinelli en noir et en blanc :
