Jeudi 12 Mai, Lecture de multiples tests sur Brink. Complètement dépité, je vois que le jeu est très décevant et ne mérite pas toute cette attente (je fond en larme et Amity me console sans savoir pourquoi), je finie la journée tout morose.
Vendredi 13 Mai 11h23, ça sonne à la porte, et le petit monsieur UPS pointe sa tête.
Vendredi 13 mai 11h24, OOOOOOOOOOUUUUuuuuuuais j’ai reçu Brink !
BRINK ??? Et oui Brink (mot qui reste facilement dans la tête d’ailleurs). Qu’est ce que Brink ? c’est un Fps (First person shooter, jeu où l’on voit juste le flingue), un peu particulier car il met en avant la coopération entre les équipiers pour anéantir l’équipe adverse mais aussi l’ajout de déplacement façon Yamakasi ultra facile à utiliser.
Alors pourquoi est -il autant critiqué par la presse ? Peut-être parce-que les jeux envoyés à la presse n’étaient pas vraiment finis surtout sur Xbox (et oui rentabilité oblige on développe sur tous les supports possible) et il n’a été testé qu’en mode solo (les serveurs pour jouer en multijoueurs n’étaient pas ouvert).
C’est sur, l’IA (intelligence artificielle) du jeu est aussi doué qu’un danseur de techtonik. Du coup, le jeu n’est pas bien passionnant de ce côté là, il faut donc le prendre comme un entrainement avant de nager dans le grand bain. Vous devez commencer à vous douter que le jeu change quand on entre dans le multijoueur, l’entre-aide est mise en avant grâce à des scénarios de jeu qui nous obligent à collaborer.
On note ainsi un système de jeu qui tourne autour de 4 classes (type de joueurs) :
- Les soldats qui permet de donner des munitions à ses coéquipiers, et peuvent détruire des objectif en plaçant des explosifs
- Les médecins qui soignent les potes, les réaniment quand ils agonisent au sol et boostent la santé
- Les ingénieurs réparent toutes sortes de trucs, placent des mines, améliorent les armes pour faire plus de dégâts
- Les espions piratent les installations (pour valider certains objectifs) et peuvent se déguiser en ennemi
Et pour les objectifs, ça tourne autour d’escortes de personnages ou d’installations (une sorte de gros robots), le piratage de données, la destruction d’un ordinateur, des processeurs à voler. Bref c’est assez varié pour ne pas avoir trop l’impression de faire toujours la même chose (je vis, je tue, je meurs, je revis …)
La sensation avec les différentes armes est très bonne et on arrive presque à sentir leur poids dans les mains du personnage.
Ce que je trouve le plus sympa dans Brink c’est son style graphique, on joue des caricatures réalistes, le tout dans un décor post apocalyptique. Cela procure une atmosphère que l’on a rarement l’habitude de voir. Même si y a eu mieux, ça tient quand même la route contrairement à ce qui a pu être dit dans les différent tests.
Un autre côté que je trouve super sympa c’est la personnalisation de son personnage ! Un vrai sims ! (pour ravir Amity 😉 ) On peut changer pas mal de trucs au niveau du visage de la corpulence et des fringues, mais également les armes (enfin ce dernier point est devenu quelques chose de commun à beaucoup de jeu) du coup on se retrouve avec un personnage quasi unique.
Le jeu est entièrement doublé et qui plus est plutôt bien.
Pour moi Brink est un jeu qui tient ses promesses, est très sympa à jouer, et avec des potes c’est encore mieux.
Voici l’un trailer du jeu (en image de synthèse mais les graphisme se rapproche de ça ), vous pourrez facilement trouver d’autres vidéos qui vous expliqueront comment jouer (très sympa à regarder) :
Rendez vous la semaine prochaine pour un teste de LA Noire sur PS3 ( noté au moins 10 sur l’échelle de la GEEK ATTENTE ! )