Zara Darcy, une jeune chercheuse de 25 ans a décidé de vulgariser les mathématiques d’une manière peu conventionnelle. Entre équations et décolletés, cette bio-ingénieure américaine a transformé l’enseignement des sciences en contenu viral sur … Porhnub et Onlyfans. Le résultat ? Une formule sexy + pédagogie à plus de 250 000 dollars par mois.
Une pédagogie décomplexée pour des plateformes inattendues
Pornhub n’est pas exactement connu pour ses cours magistraux sur l’algèbre linéaire. Et pourtant, c’est là — ainsi que sur OnlyFans — que Zara Darcy, ex-doctorante en bio-ingénierie, a trouvé l’endroit idéal pour expliquer des notions comme le nombre d’Euler ou les réseaux neuronaux. Spoiler alert : ce n’est pas une équation différentielle, mais ça fait clairement vibrer les zéros et les uns.
Elle commence classiquement sur YouTube, mais déchante vite : algorithmes capricieux, monétisation aussi instable qu’un neutron libre… Elle migre donc vers d’autres plateformes, là où les vues ne sont pas seulement comptées en unités SI mais en dollars bien réels.
Un modèle économique… plus sexy que scalable
Le contenu ne change pas : les vidéos restent éducatives, mais la forme évolue. Zara mixe brainy content et mise en scène séduisante. Résultat : visibilité maximale et revenus exponentiels. À titre d’exemple, une vidéo qui ferait 1 million de vues sur YouTube rapporte 300 dollars. Sur Pornhub ? Près de 1 000. Les maths ne mentent pas.
En parallèle, elle anime deux pages sur OnlyFans : l’une gratuite pour les contenus éducatifs (oui, même les maths peuvent être « hot »), et une autre, plus osée, à destination d’un public adulte qui ne fuit plus devant une équation quadratique. Elle touche jusqu’à 250 000 dollars par mois. Une preuve vivante que l’on peut être sexy ET vectorisé.
Des critiques, mais aussi un public converti
Évidemment, certains y voient une « hypersexualisation » des savoirs. D’autres saluent une stratégie audacieuse pour réconcilier public réticent et disciplines scientifiques. Zara, elle, répond avec calme : « Si une personne regarde cinq minutes, rit à ma blague sur les courbes… et comprend enfin ce qu’est une dérivée, c’est gagné. »
Cerise sur le théorème : plusieurs enseignants ont même diffusé ses vidéos en classe. Comme quoi, le sex appeal d’un bon raisonnement logique peut séduire bien au-delà du premier degré.
Quitter le doctorat pour… une meilleure équation personnelle
Après deux ans en thèse, Zara décide de poser sa calculette. Le monde académique lui semble trop rigide, et la carrière en R&D, sans issue immédiate. Elle se réoriente : cours de machine learning, production vidéo, community management… On est loin des exposés soporifiques du jeudi matin. Elle résume : « Avec ou sans blouse, j’enseigne mieux ici que dans un amphi à moitié vide. »
Et non, elle ne renie pas les sciences. Au contraire, elle en offre une version plus libre, plus accessible — parfois plus coquine — mais toujours rigoureuse. Sa dernière vidéo sur les intégrales multiples s’intitule, avec humour : « Comment courber l’espace… et l’attention de vos viewers. »
La vulgarisation à l’ère de l’économie de l’attention
En filigrane, son parcours soulève une question cruciale : comment transmettre du savoir à l’ère des algorithmes-rois ? Peut-on encore enseigner sans se battre contre la logique de la viralité ? Zara Darcy, elle, prend le problème à rebours : elle transforme la plateforme en levier, et l’audience en élève potentiel.
En résumé : elle n’a peut-être pas trouvé le théorème ultime, mais elle maîtrise à la perfection l’art de rendre les sciences (et la caméra) terriblement attractives.