En Pologne, une "créature" perchée dans un arbre a terrorisé les habitants d'une ville pendant plusieurs jours

En Pologne, une nouvelle légende urbaine vient de naître. Pendant plusieurs jours, les habitants d’une ville du sud du pays ont vécu avec la peur au ventre à cause d’une créature effrayante perchée dans un arbre, au milieu de la rue. La SPA polonaise a été appelée en renfort pour tenter d’identifier et de capturer la chose qui menaçait la sécurité des habitants. Attention, cet article peut vous donner envie de partir vivre dans la forêt.

Une créature sans nom qui se cache dans les arbres…

C’est une habitante qui a tiré la sonnette d’alarme. Constatant la présence persistante d’une forme de vie non-identifiée perchée dans un arbre devant chez elle, notre citoyenne lambda a rapidement contacté la Société de protection des animaux de Cracovie. La peur chez les riverains était bien réelle puisque beaucoup d’entre eux n’osaient même plus sortir de leur maison, ni même ouvrir leurs fenêtres.

Au téléphone, les inspecteurs de la SPA polonaise émettent l’hypothèse qu’il s’agit sans doute d’un oiseau de proie. Que nenni ! La citoyenne est formelle ce n’est pas un oiseau mais… « une lagune » ! Bon, le véritable mot qu’elle cherchait était « iguane » mais on ne lui en veut pas. La peur, l’inconnu, l’incompréhension…

Mais ce n’était pas un lézard non plus.

La vérité est ailleurs

Les inspecteurs se décident finalement à venir sur place pour identifier cette créature étrange qui terrorise tout un quartier. Et, ô surprise, le monstre n’a ni tête, ni pattes ! Il est marron et ne bouge pas d’un iota, là-haut, posté stratégiquement au sommet de son, arbre là où il peut voir venir le danger tout en restant inatteignable.

Allez, on vous donne 30 secondes.

Regardez bien la photo, on se retrouve juste après pour la réponse.

La bonne réponse était : un croissant ! Oui, nous sommes en 2021 et un pauvre et malheureux croissant oublié au sommet d’un arbre suffit à semer le chaos dans une ville.

L’histoire ne dit pas comment il s’est retrouvé là-haut, ni si quelqu’un s’est donné la peine de le manger mais une chose est sûre : le monde va mal.