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Ori and the Blind Forest : de l'aventure et de la poésie

Ori and the Blind Forest est un jeu de plates-formes/aventure, disponible sur PC (via Steam), sur Xbox 360 et sur Xbox One.

Ori and the Blind Forest : un scénario tout droit sorti d’un conte de fées

Le joueur incarne Ori, une drôle de créature blanche, à mi-chemin entre un chat et un lapin. Il a pour mission de sauver l’Arbre aux Esprits, d’abord en retrouvant Seyn, la lumière représentant l’âme de l’Arbre, puis en rassemblant trois éléments dispersés dans la forêt. L’eau, le vent et la chaleur, récupérés par Ori, permettront à l’Arbre aux Esprits de retrouver sa vigueur.

Un gameplay simple et efficace

Ori and the Blind Forest : de l’aventure et de la poésie #2

Le joueur fait évoluer Ori dans des niveaux variés : il ne s’agit pas uniquement que parcourir des plates-formes pour traverser l’écran, mais de découvrir toute l’étendue du niveau, ainsi que les éléments cachés, en utilisant les différentes capacités du personnage.

Dans certaines zones il faudra pousser ou tirer des grosses pierres bloquant le passage, dans d’autres réussir à se balancer sur des plates-formes pour en atteindre d’autres… Les mécaniques sont aussi variées que les niveaux, ce qui évite de se lasser et permet de conserver le plaisir du jeu au fil de l’avancée.

La prise en main est assez simple, parce qu’assez classique : on peut sauter, on peut tirer… En plus de ces fonctionnalités basiques, il est également possible de créer des points de sauvegarde, ainsi que des checkpoints.

Les points sauvegarde permettent d’éviter de retourner au début lorsqu’on se fait tuer, alors que les checkpoints vont être utilisés pour accéder à un arbre de compétences. A noter que même sur PC, il est vraiment plus simple et plus agréable de jouer à la manette : le contrôle au clavier est beaucoup moins intuitif pour ce jeu.

Pourquoi jouer à Ori and the Blind Forest ?

Première chose : les graphismes ! Le jeu est splendide, les graphismes sont vraiment soignés, on se croirait dans un film d’animation plus que dans un jeu vidéo.

La bande son est également parfaitement adaptée, à la fois aux graphismes et au style de jeu.

Une fois qu’on est tombé amoureux de ces éléments, on se plonge dans le jeu, et on découvre tout un univers fascinant et émouvant. Le niveau de difficulté est suffisamment élevé pour qu’on ne trouve pas le jeu trop facile, mais pas complexe au point de lasser rapidement : le bon dosage a été trouvé, et l’ensemble donne envie d’y jouer pendant des heures.

Ori and the Blind Forest : de l’aventure et de la poésie #3

Aude

Rédactrice passionnée, joueuse assidue, lectrice vorace, joueuse de Quidditch.