Mirror's Edge 2 : une sortie pour 2016

C’est un petit événement pour mon PC chéri : EA a daté la sortie de Mirror’s Edge 2 pour 2016.
On pourra enfin de nouveau incarner Faith, la sexy, athlétique et surtout très acrobatique héroïne du jeu-vidéo Mirror’s Edge.

C’est à l’occasion de la communication de son dernier bilan fiscal qu’EA prévoit la sortie du jeu pour la prochaine année fiscale soit 2016.
Bien évidemment, EA se garde le droit de modifier la date, car après tout c’est pas sur sur hein … des fois que … cas de force majeure, enlèvement extra-terrestre toussa toussa…

Si l’évocation de Faith vous rappelle surtout la Némésis un peu darky et useless de Buffy contre les Vampires, un petit récap de Mirror’s Edge s’impose.

L’histoire se déroule dans un univers plus si futuriste que ça puisque la société a adopté des mesures liberticides pour assurer une certaine sécurité dans la ville.
Comprenez par là que toutes vos conversations, vos faits et gestes sont enregistrés. Vos dires sont censurés et vos déplacements vidéo-surveillés (toute ressemblance avec l’actualité est purement involontaire … ^^).
Vous vous doutez que tout ce bord*l totalitaire, ça plaît pas à tout le monde et c’est là que vous – enfin Faith – rentrez en scène.

Pour faire face à ce système pourri, les résistants ont recours à des Messagers qui – comme Faith – sont chargés de transmettre des messages secrets aux gens influents, vu que même Skype et Teamspeak sont sur écoute.
Plongée au cœur des tensions politiques, Faith doit faire preuve d’adresse et de discrétion pour échapper aux caméras installées même sur les toits. En gros, c’est un peu la postière du 21ème siècle, la sexytude en plus :

Le système du jeu est simple. En mode FPS, votre but est d’aller d’un point A à un point B, le tout dans un décor ultra urbain, façon parktour et course libre.
Ne vous y trompez pas, même si les parcours sont assez linéaires, le jeu demande une certaine dextérité. A la différence d’Assassin’s Creed, le parti pris de faire entrer le joueur dans une immersion la plus totale en poussant l’utilisation de la vue subjective peut en déstabiliser plus d’un.