Le week-end dernier nous étions à la DreamHack 2015 qui se tenait pour la toute première fois à Tours.
Pour ceux qui n’ont pas pu s’y rendre on vous a concocté un petit résumé :
Soirée DreamHack blogueurs
La veille de la Dreamhack, Acer et Nvidia, gros partenaires de cet événement avaient invité le top de la blogosphère Gaming à une soirée exclusive DreamHack first edition.
Ce fut l’occasion pour ces marques qui investissent beaucoup de le jeu vidéo de nous présenter quelques membres prestigieux de la TeamAcer e-sport comme MMA Mun Seong Won, Scarlett Sasha Hostyn et Bly Aleksandr Svusuyk.
Julie Mars aka Furiie représentante de la marque était aussi présente. Elle affrontera sur le stand Acer les téméraires qui oseront se mesurer à elle sur Heroes of the Storm, le tout nouveau MOBA de Blizzard.
Les joueurs y incarnent les héros des jeux du célèbre studio. Autour d’un buffet frugal, nous avons pu l’essayer et on peut vous dire qu’on a adoré !
A l’image de ce qui allait se passer le lendemain, le mini tournoi fut donc lancé avec à la clé la possibilité de remporter :
- 1 Notebook Aspire VN7-791G, portable dédié au jeu et au multimédia
- 1 PC Predator G3-605, la machine de guerre pour le gaming de chez Acer
- 1 moniteur Predator XB280HK, complice idéal du Predator avec sa définition en Ultra-HD (4K) et la technologie G-Sync de Nvidia
La suite de la soirée nous a permis de découvrir en avant première la Dreamhack Expo avec les stands fraîchement installés qui la composent.
J’ai eu l’impression de prendre une Doloreane pour replonger dans les années 90 en jouant à Mortal Kombat X sur des Playstations 4 customisées à l’ancienne façon borne d’arcade.
J’étais également bien tenté de monter à bord de la camionnette Xbox One afin d’embarquer immédiatement sur les terres d’Halo Masterchief Collection, mais l’équipe n’était pas encore arrivée…
De superbes artworks du Shooter/ Moba, Games of Glory, développé par le studio franco suédois Lightbulb Crew ornaient le stand Logitech.
Et forcément on a fini dans les poufs mis à disposition sur le stand de Steelseries où il était (aussi) possible de s’adonner à loisir à Leagues of Legends.
Pour cette mise en bouche de ce que réserve cette célébration du jeu video, j’étais impatient de connaitre la suite consacrée à l’e-sport avec les matchs professionnels et les dreamhackeurs qui participaient aux épreuves BYOC (Bring Your Own Computer, apportes ton propre PC).
Bienvenue à la Dreamhack
Le lendemain, dès 9h le public avait répondu en masse à l’appel.
L’organisation globale de la Dreamhack a vraiment été à la hauteur de l’événement, un véritable modèle du genre qui force l’admiration.
Mortal Kombat X
Cette fois, le stand Mortal Kombat était beaucoup plus encombré que la veille.
La présence des animateurs de GameOne Kayane (que l’on pouvait affronter) et Genius (qui commentait) y était surement pour quelque chose :
Chez Microsoft, c’est Halo the masterchief collection qui était à l’honneur avec la possibilité de faire une mission complète en réseau.
Sur le stand Acer, les postes étaient pris d’assaut par les joueurs en herbe.
On pouvait non seulement y jouer à Leagues of Legends, mais la youtubeuse Furiie, ambassadrice Acer pour ce jeu était également présente !
Des matches d’e-sport se jouaient depuis les différentes salles du bâtiment et étaient retransmis sur des écrans géants dans des immenses auditoriums.
Les commentateurs n’ont d’ailleurs pas démérité par leur abnégation et leur régularité toutes les parties durant.
Comme il s’agissait d’un événement international tous ces matchs étaient commentés en anglais, ce qui rendait un peu difficile par moment de suivre tout ce qui se passait à l’écran.
J’ai en particulier assisté à un match de Starcraft 2 dans lequel s’affrontaient LiquidMana et Firecake.
Passionnant et me tenant en haleine jusque tard dans la nuit, il s’est terminé par la victoire in extremis de FireQuake.
En final c’est PartingG qui a remporté le pactole de 10.000$ sur Starcraft 2.
Du coté de Counter Strike GO ce sont les Fnactics qui se sont démarqués des Hellraisers en empochant au passage 20.000$.
Cette immersion dans le monde de l’e-sport fut vraiment très instructive.
Bien loin de l’image sulfureuse que l’on veut volontiers coller au jeu vidéo, l’ambiance de cette Dreamhack était définitivement sympathique. Le fair play, le partage et la passion qui s’en dégageaient m’ont confirmé que l’e-sport est certes une discipline sportive mais qu’il fait bien partie de la grande famille du jeu vidéo.